Construire avec la Chambre attire près de 80 personnes

La troisième édition de Construire avec la Chambre a réuni près de 80 personnes au centre de congrès Le Georgesville le 12 février après-midi.

Ce nombre est un peu plus élevé que l’année dernière. «Nous avons eu une belle participation des gens de domaines diversifiés en lien avec la construction. Nous avons eu des entrepreneurs, des manufacturiers, des évaluateurs et même des représentants de diverses municipalités», indique la coordonnatrice aux communications et aux événements de la Chambre de commerce de Saint-Georges, Marilyne Gilbert.

Les participants ont eu droit à trois conférences d’une vingtaine de minutes chacune. Le premier à prendre la parole a été le vice-président des relations gouvernementales et des relations publiques de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec, François Vincent.

«C’était très intéressant. Il a parlé de la situation de la construction comme quoi c’est un secteur important au niveau du PIB régional et provincial», résume Mme Gilbert.

Puis, le responsable du marketing et du développement des affaires pour le marché canadien de Groupe RCM, Jean-François Lavoie, a pris la parole. Il a vanté les avantages de la construction modulaire. «Alors que les travailleurs sur le chantier veillent à faire les fondations, les modules peuvent être construits en parallèle à l’usine, à l’abris des intempéries», affirme-t-il.

Entre chaque conférence, les participants étaient invités à discuter entre eux et à visiter les kiosques installés sur place.

Finalement, l’avocat Yannick Richard, du cabinet Cain Lamarre, a notamment fait valoir la validité des contrats verbaux tout en soulignant l’importance de mettre sur papier toute modification du contrat initial pour éviter les complications.

Entre chaque conférence, les personnes présentes étaient invitées à discuter entre elles. Elles pouvaient également se rendre à l’un des kiosques installés dans la salle pour échanger avec les entreprises présentes.

Précisons que la Commission scolaire Beauce-Etchemin et le Cégep Beauce-Appalaches partageaient un présentoir afin de faciliter les contacts entre les finissants de divers programmes collégiaux ou de la formation professionnelle et les entrepreneurs.