L’Association TCC des Deux-Rives présente depuis 26 ans

Fondée en 1989, l’Association TCC des Deux-Rives procurent des services aux personnes ayant subi un traumatisme cranien-cérébral (TCC) et à leurs proches. Ayant son point de services au Pavillon du cœur de Saint-Georges, elle dessert une soixantaine de membres dans les MRC, de Beauce-Sartigan, Robert-Cliche, Les Appalaches et Des Etchemins.

Faisant partie de l’une des 13 associations régionales qui couvrent l’ensemble de la province, l’Association dispense divers services pour briser l’isolement, favoriser le maintien et l’autonomie des personnes atteintes de TCC modéré ou sévère. «Mon rôle est aussi d’organiser des activités sociales et de favoriser le maintien des acquis des gens. Nous avons un volet psychosocial autant pour les familles que les personnes TCC», précise l’éducatrice spécialisée basée à Saint-Georges, Mélanie Gilbert. 

En plus de fournir de l’information à ses membres, l’Association tient des déjeuners-causeries, des ateliers de chant, d’informatique, de mise en forme et de cerveau actif pour ses membres sur le territoire. Elle offre aussi un service de répit à Québec.

Pour plus d’information, communiquez le 1 866 844-8421 ou visitez le site www.tcc2rives.qc.ca.

Au Québec, tous les ans…

•    13 000 nouvelles victimes d’un traumatisme crânien.
•    D’entre elles, 3600 victimes ne retrouveront jamais leur autonomie, soit 10 personnes par jour.
•    45 % des traumatismes crâniens sont causés par des accidents de la route.
•    3 victimes sur 4 sont des hommes de moins de 35 ans.
•    29 % des traumatismes crâniens sont causés par des chutes.
•    10 % des traumatismes crâniens sont causés par un accident de travail.
•    Chez l’enfant, 30 % des traumatismes crâniens sont causés en pratiquant un sport ou un loisir.
•    40 % des traumatisés crâniens sont des cas modérés et graves.
•    Moins de 35 % des traumatisés crâniens retourneront au travail.
•    La dépression touche 40 % des traumatisés crâniens.
•    Le traumatisme crânien est la cause principale de décès chez les Québécois âgés de moins de 35 ans.

*Source :Fondation Martin Matte