Plus de visiteurs et d’activités aux Couleurs et Saveurs au centre-ville
Organisée par Quartier Centre-Ville, la seconde fête Couleurs et Saveurs au centre-ville de Saint-Georges a profité d’une programmation bonifiée ayant attiré plus de 2500 personnes les 19 et 20 août.
En plus de faire des achats dans les kiosques installés au stationnement Maguire-Gagné adjacent au Grand Marché Beauce-Sartigan, les visiteurs pouvaient participer à des ateliers de photographie et sculpture culinaire.
Le groupe Maestrô, Matante Maricelle, la Cabane à Swing et le duo Harold et Marlène ont également présenté des spectacles durant la fin de semaine. Le Club de judo de Saint-Georges a aussi procédé à quelques démonstrations.
Présentée le dimanche matin, la Parade des Poilus a permis de recueillir plus de 400 $ au profit de la SPA Beauce-Etchemin. En cette occasion, 161 chiens ont paradé avec leurs maîtres sur la 1ère Avenue entre la 118e et la 130e Rue.
«On a beaucoup appris de nos expériences l’an dernier. On devait trouver une façon de garder les gens plus longtemps sur le terrain. Nous avons eu de bonnes collaborations avec la ville, les commerçants et bénévoles. Le beau temps nous a aussi aidés», estime Harold Gilbert, représentant de Quartier Centre-Ville.
Vernissage et quai Pinon
La journée du samedi coïncidait avec le vernissage déambulatoire de l’exposition La longue galerie d’Artistes et Artisans de Beauce. Mettant en vedette les œuvres de 27 artistes exposées dans les vitrines de 32 commerces du centre-ville, celle-ci durera jusqu’au 3 septembre.
«Comme l’événement la Belle Tournée n’aura pas lieu cette année, Artistes et Artisans de Beauce cherchait une alternative pour montrer des œuvres. Les commerçants ont embarqué rapidement», confirme Harold Gilbert.
Malgré la réfection du mur de soutènement de la Promenade Redmond (quai Pinon) en 2018, la fête reviendra pour une troisième édition.
«Ce sera au même endroit et nous ferons des modifications au besoin. C’est une activité qui cadre bien avec la revitalisation du centre-ville», soutient Harold Gilbert.