Ville Saint-Georges se dirige vers un surplus de 3,8 M$

La Ville de Saint-Georges engrangera un surplus de 3,8 M$ en 2015 selon le rapport sur la situation financière dévoilé le 9 novembre dernier.

«Cela va très bien, et la Ville est en bonne santé financière. Nous allons continuer d’agir avec une grande rigueur pour le futur», a notamment souligné le maire Claude Morin.

En 2016, le maire souligne que son conseil a comme priorité de maintenir le cap sur ses orientations de 2013. «Nous souhaitons maintenir la hausse des taxes à un niveau n’excédant pas l’augmentation de l’indice des prix à la consommation et garder un contrôle serré sur l’endettement de la Ville», souligne le maire Morin.

La dette de la Ville de Saint-Georges sera de 60 195 000 $ au 31 décembre 2015. Ses surplus réservés de  sont de 13,6 M$ notamment en vue des grands projets comme la réfection du mur de soutènement de la promenade Redmond évaluée à plus de 20 M$. Ces travaux ont été reportés à une date ultérieure parce que Saint-Georges tente toujours d’obtenir du financement des paliers de gouvernements.

En raison de l’absence d’un programme de subvention de ce type de travaux pour le moment, la réfection du quai Pinon n’aura vraisemblablement pas lieu en 2016. L’administration municipale devrait en faire l’annonce lors du dévoilement du prochain budget et plan triennal d’immobilisation.

Un retour sur 2015                                                                

Au cours de cet exercice, la Ville a entrepris divers projets tels que la mise à niveau de l’usine d’épuration et des piscines extérieures tant au Centre sportif Lacroix-Dutil qu’au parc des Sept-Chutes. La municipalité a aussi acquis un nouveau camion-échelle au coût de 1,3 M$ et les terrains près des passerelles au coût de 1,675 M$.

De plus, la Ville a aussi procédé à la démolition de l’édifice du Bon-Pasteur et à la réfection du centre culturel Marie-Fitzbach. Durant aussi la dernière année, prolongement des services municipaux dans le parc industriel du secteur ouest en plus du maintien des infrastructures souterraines de la métropole beauceronne.