Super gala de boxe Saint-Georges Ford: des attentes élevées pour la deuxième édition
BOXE. Boxeurs locaux, de la relève et même féminin sont de la programmation de la deuxième édition du Super gala de boxe Saint-Georges Ford. L’événement aura lieu le 26 mai prochain à 20 h au centre sportif Lacroix Dutil à Saint-Georges.
Au total, le comité organisateur, formé de Louis Larochelle, d’Hubert Poulin et d’Éric Gosselin, prévoit offrir 14 combats amateurs de toutes catégories lors de cette soirée. Toutefois, un beau problème se présente à eux alors que 16 produits locaux sont prêts à monter dans le ring.
« Je vais devoir faire des choix difficiles, mais j’aime mieux mettre deux combats de plus. Par expérience, on est mieux d’être mieux préparé et s’assurer d’avoir des réservistes. En boxe, professionnelle ou amateur, on n’est jamais à l’abri des imprévus de dernière minute », indique M. Poulin.
Parmi les principaux pugilistes présents, on y compte Cédrick Bégin, Dany Poirier, Dave Rodrigue, Jean-William Caron et William Breton. Chez la relève, Hubert Poulin, responsable de la carte de boxe, s’attend à ce que Jessy Landry, Logan Raby et Mikael Dupuis montent dans le ring. Le boxeur professionnel souhaite également permettre à Valérie Longchamps de se battre lors de cette soirée, mais il était toujours à l’attente de confirmation.
« C’est important de laisser de la place à la relève, nos jeunes sont en mesure d’offrir tout un spectacle. Dans pas long, ce sont eux qui seront nos têtes d’affiche. C’est de cette façon que l’on construit une relève et fait rayonner la région et le sport de la boxe », mentionne M. Gosselin.
Lors de sa première édition, un retour à Saint-Georges après plus de dix ans d’absence, le Super gala de boxe Saint-Georges Ford a attiré un peu plus de 2 000. Cette année, l’organisation de l’événement a pour objectif d’atteindre les 2 500 spectateurs. « Les spectateurs auront le droit à tout un spectacle. Ils pourront profiter d’une ambiance festive et survoltée grâce aux jeux de lumière, aux effets spéciaux et à la musique d’ambiance », conclut M. Larochelle.