Début des travaux de réfection du mur de soutènement à Saint-Georges

La réfection du mur de soutènement est officiellement amorcée à Saint-Georges. Les travaux comprennent aussi le réaménagement de la promenade Redmond de la 118e à la 130e Rue.

Sous la responsabilité de l’entreprise Hamel Construction, le chantier principal s’échelonnera jusqu’à la mi-décembre. Les travaux dans le lit de la rivière Chaudière débuteront en juillet.

Les travaux d’aménagement de la promenade Redmond auront lieu le printemps prochain afin que tout soit prêt pour juillet 2019.

Projet tripartite de 19,3 M$, le réaménagement créera une nouvelle dynamique dans ce secteur selon Claude Morin, maire de Saint-Georges. «C’est le projet le plus important dans l’histoire de la ville», rappelle-t-il.

Les véhicules devront circuler sur une voie de la 118e à la 130e Rue.

 

En plus du prolongement de la piste cyclable et piétonnière, on retrouvera des espaces de détente et belvédères surplombant la rivière. La modification de l’angle du mur de soutènement permettra ces ajouts, car la surface terrestre de la promenade Redmond gagnera 2,5 mètres en largeur.

«Aux commerçants et citoyens de la 1ère Avenue, nous savons que les travaux vont causer certaines situations désagréables, comme la poussière et le bruit. Sachez qu’il faut souffrir pour être beau et ça va être très beau lorsque tout sera terminé. On veut rendre le centre-ville agréable et sécuritaire», d’ajouter le maire.

Circulation et stationnements

Durant les travaux, la circulation se fera sur une seule voie de la 118e à la 130e Rue dans la zone de la promenade Redmond. Les stationnements disponibles en bordure de la rivière varieront en nombre selon l’avancement du chantier.

Claude Morin, maire de Saint-Georges

 

En attendant, un nouveau stationnement de 25 cases sera mis à la disposition des véhicules sur la 120e Rue. Les travaux dans le lit de la rivière empêcheront aussi l’utilisation du barrage gonflable en 2018.

«Les gens seront avisés pour chaque avancement ou changement aux travaux. C’est un dossier avec plusieurs défis techniques et les ingénieurs sont motivés à passer au travers», affirme Claude Morin.