Le Bercail amasse 35 000 $ lors de son Souper au homard

L’organisme Au Bercail a amassé 31 000 $ lors de la dixième édition du Souper au homard auquel ont pris part plus de 300 convives.

La soirée a également permis de souligner les 35 ans du Bercail, alors que plusieurs prix de présence ont été tirés au hasard. Des billets étaient en vente pour y participer, ce qui a permis d’amasser 4000 $ supplémentaires. Ce tirage avait pour but de financer l’achat d’un défibrillateur cardiaque.

De plus, une vidéo a été présentée au cours de la soirée pour mieux faire connaître l’organisme et sa fondation. Autre surprise, deux comédiens se sont glissés dans l’équipe de serveurs pour amuser les gens.

Le président du Bercail, Pierre Lacombe, a tenu à souligner l’implication de la présidente d’honneur, Catherine Larochelle. «C’est une femme d’honneur, une femme de cœur, qui a fait preuve d’un grand dévouement et qui s’est grandement impliquée pour la cause», a-t-il affirmé.

Le Souper représente la plus importante source de financement de l’organisme, qui organise également quelques événements au cours en été et à Noël pour amasser des fonds. «Cela nous permet d’assurer la pérennité de l’organisme, de maintenir nos services et de soutenir la Fondation», a mentionné la directrice générale du Bercail, Cathy Fecteau.

Près de 500 personnes ont bénéficié des services internes de la maison d’hébergement et environ 400 ont eu recours à l’Accueil inconditionnel. «Nous constatons une hausse pour l’Accueil. Il existe depuis six ans et les gens le connaissent de plus en plus, ce qui explique l’augmentation. Pour ce qui est de l’hébergement, il s’agit d’une diminution du nombre de personnes, mais elles séjournent plus longtemps», a-t-elle expliqué.

Moments marquants

Différents moments ont marqué l’histoire du Bercail depuis sa création en 1983. «À la base, nous offrions des services pour l’itinérance. Puis, se sont ajoutés les services pour les personnes ayant des problématiques en santé mentale, des lits multifonctionnels, l’Accueil inconditionnel et des lits de crises», a conclu Mme Fecteau.