Le camp de jour de Saint-René a aussi refusé un enfant handicapé

Il n’y a pas que Saint-Georges qui a refusé un enfant avec des déficiences à son terrain de jeux. Dernièrement, la municipalité de Saint-René a été contrainte de refuser un enfant handicapé.

La raison évoquée par la petite localité est que l’enfant en question surpassait l’âge limite du programme de terrain de jeux. «Nous avons un camp de jour qui s’adresse uniquement aux enfants de 5 à 12 ans. La fillette est âgée de 13 ans», précise le maire de saint-René, Jean-Guy Deblois.

L’enfant a fréquenté le camp de jour lors des deux années précédentes. Une ressource spécialisée l’accompagnait en permanence. Donc, la municipalité de Saint-René avait rempli son devoir estime le maire Deblois.

Le camp de jour de Saint-René comprend 25 enfants.

Saint-Georges en mode résolution

Pendant ce temps, les dirigeants de Saint-Georges souhaitent réintégrer le jeune garçon autiste de sept ans, exclu du terrain de jeux municipal. Cependant, elle dit avoir besoin d’un coup de main d’une ressource externe pour répondre aux besoins de l’enfant.

Pour ce faire, ils rencontreront ce vendredi les représentants du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) et de l’Office des personnes handicapées du Québec.