Près d’une centaine de visiteurs à la découverte des plumes d’ici

LITTÉRATURE. Près d’une centaine de personnes ont visité le salon littéraire Plumes de chez nous qui a eu lieu le 12 août à l’espace Carpe Diem de Saint-Georges.

C’était l’occasion pour les visiteurs de découvrir une vingtaine d’auteurs d’un peu partout en Beauce en cette journée « Achetez un livre québécois ». « La journée s’est très bien déroulée. Je n’ai reçu que des commentaires positifs, tant de la part des auteurs que des visiteurs. Les gens ont été impressionnés de voir qu’il y a autant d’auteurs dans la région. C’est l’un des commentaires que les exposants et moi avons reçus le plus », raconte l’auteure et organisatrice de l’événement, Myriam Busque.

Celle-ci ajoute que les ventes étaient au rendez-vous pour plusieurs des auteurs. « Certains m’ont même dit qu’ils avaient fait autant de ventes que dans les salons des grandes villes », confie-t-elle.

Parmi les exposants présents, il y avait Alain Lessard et sa conjointe Andrée-Anne Chevrier, également auteure. « C’est une super belle journée. En à peine deux heures, nous avons fait plusieurs belles rencontres. C’est un très bel événement. Il permet de faire découvrir des auteurs d’ici », commentent-ils.

Une opinion partagée par Josiane Fortin, qui avait également un kiosque. « Le public est présent, le soleil aussi. Je suis contente d’être ici pour une deuxième année. On remarque que les gens sont intéressé à découvrir les plumes d’ici », affirme-t-elle.

Un salon extérieur

Pour l’organisatrice, le fait de tenir cet événement à l’extérieur lui permet d’attirer davantage l’attention. « L’espace Carpe Diem est situé près des passerelles. Les passants peuvent facilement venir nous visiter. Aussi, les automobilistes peuvent voir les gazébos à partir du boulevard », explique-t-elle en faveur de son choix.

La pluie peut toutefois jouer les trouble-fêtes lors d’un tel événement extérieur. « Nous avons été chanceux, il faisait beau, mais si le risque de pluie avait été trop grand, nous aurions déplacé le salon dans une salle au centre culturel Marie-Fitzbach », précise Myriam Busque.

Cette précaution a été prise avec les responsables de la bibliothèque municipale de Saint-Georges. « Nous avons une belle collaboration avec les gens de la ville. J’ai beaucoup apprécié que ce soit eux qui me contactent dès décembre pour savoir à quelle date j’aurais besoin de l’espace Carpe Diem pour la tenue du salon », mentionne-t-elle.

En terminant, Myriam tient à remercier tous les auteurs et visiteurs qui sont venus. « Avec le succès que nous avons eu, je peux dire que c’est sûr à presque 100 % que l’événement sera de retour l’an prochain », conclut-elle.