La cinquième édition du Cardio-thon fracasse des records
Encore cette année, le Cardio-thon de la Fondation du cœur Beauce-Etchemin fut un véritable succès. La cinquième édition, qui s’est tenue le 17 février dernier, a permis à l’organisme de dépasser son record de l’an dernier en amassant la somme de 40 510 $.
Avec 34 équipes inscrites et plus de 40 000 $ amassés, le Cardio-thon, qui avait lieu au Pavillon du cœur Beauce-Etchemin à Saint-Georges, aura permis à la Fondation du cœur Beauce-Etchemin de fracasser tous ses précédents records.
«On avait deux objectifs soit de recruter 25 équipes et d’amasser 25 000 $», explique Joannie Demers, adjointe à la direction et responsable des activités de la Fondation. «Avec 34 équipes inscrites, on a atteint cet objectif. Puis, on a largement dépassé l’objectif monétaire».
Cette année, le Cardio-thon a non seulement permis à la Fondation du cœur Beauce-Etchemin d’amasser près de 10 000 $ de plus que l’an dernier, mais a aussi attiré un nombre record d’équipes. Au total, près de 225 personnes, réparties en 34 équipes de six personnes, se sont relayées sans interruption pendant 12 heures dans le but de dépasser leurs limites et d’amasser de l’argent pour la Fondation. Durant tout l’événement, des animations, de la musique entraînante et des défis sportifs ont motivé les participants à se surpasser.
«On est vraiment content de ce qu’on a amassé. On est même épaté. On est étonné. C’est incroyable la générosité des gens. On est vraiment heureux», mentionnait fièrement Joannie Demers.
Le défi de Nicolas Bélanger
Même s’il n’y a personne dans son entourage qui souffre d’un problème cardiaque, Nicolas Bélanger, représentant de l’équipe Blanchette Vachon, s’est mis en tête de relever un défi de taille : courir 100 kilomètres en 12 heures sur un tapis roulant.
Lors de notre passage, le coureur avait déjà parcouru 75 km. «En ce moment, je me demande ce que je fais ici», raconte en riant celui qui a pourtant l’habitude des courses, puisqu’il s’implique avec Courir la Beauce et le club de course les Courailleux. «Probablement que dans deux heures et demie, quand je vais avoir fini, je vais être content de l’avoir fait», ajoute Nicolas Bélanger qui peut maintenant dire «mission accomplie». Ce dernier a finalement complété son défi avec succès.
