Une clinique Lobe ouvre ses portes à Beauceville
L’inauguration officielle de la 54e clinique Lobe a eu lieu le 4 septembre sur le boulevard Renault à Beauceville, dans le même bâtiment qui abrite la Coop de santé Robert-Cliche.
Cet emplacement représente un avantage pour l’audioprothésiste et propriétaire des cliniques Lobe de la Beauce, Karl Drouin. «Le local est très beau et cela va permettre d’attirer les gens pour les soins médicaux», mentionne-t-il. «Ça vient compléter l’offre de services de la Coop. Ça aide aussi les gens à bien situer la Clinique», complète la vice-présidente – Communication et marketing des cliniques Lobe, Nancy Girard.
Cette nouvelle clinique a pour but d’offrir des services de proximité. «C’était important pour nous de nous approcher le plus possible de notre clientèle pour favoriser l’accessibilité aux services de santé auditive des gens de Beauceville et des municipalités aux alentours», explique M. Drouin.
Les clients pourront passer des tests de dépistage gratuitement. Ils auront aussi accès à tous les services en ce qui concerne les prothèses auditives, que ce soit la correction de l’audition avec de l’aide auditive, l’entretien des prothèses et les suivis des patients.
La clinique ne comptera toutefois pas de médecin oto-rhino-laryngologiste (ORL). Ceux-ci demeureront dans les cliniques multidisciplinaires, comme celles de Saint-Georges et de Sainte-Marie.
Les personnes qui auront besoin de rencontrer un médecin seront alors redirigées vers l’une de ces deux cliniques. «Souvent, on va avoir besoin de rencontrer un ORL au début de la démarche et par la suite, le client n’a plus nécessairement besoin de le voir à moins de problématiques médicales», précise M. Drouin.
Conférence de Marie-Josée Taillefer
L’ambassadrice des cliniques Lobe, la comédienne Marie-Josée Taillefer, était présente lors de cette ouverture officielle. Mme Taillefer a donné une conférence d’un peu moins d’une heure devant les quelques dizaines de personnes rassemblées sur place.
Celle-ci a parlé de l’importance de l’ouïe en partageant des pans de sa vie personnelle avec ses deux enfants atteints de surdité profonde. Elle est également restée après la conférence pour discuter avec les personnes et prendre des photos avec elles.
«Ce que nous [René Simard et elle] avons vécu avec nos enfants, les gens l’ont partagé avec nous. Notre peine, on sent qu’ils l’ont vécue avec nous et ils ont été avec nous pour nous encourager. Encore aujourd’hui, quand je vais à l’épicerie, les gens s’informent de mes enfants. Alors, pour moi c’est juste un retour des choses», indique Mme Taillefer à propos de son implication.