Inauguration de l’école l’Éco-Pin nouvellement agrandie

L’inauguration de l’école l’Éco-Pin, de Notre-Dame-des-Pins, a eu lieu ce dimanche après-midi. Il s’agissait d’un projet de 7,5 M$ qui a fait passer la superficie de l’établissement de 1387 à 2582 m².

Des élèves de cinquième année ont guidé les citoyens à travers les installations. Un diaporama et une ligne du temps étaient présentés au gymnase. De plus, des mots écrits par les élèves après avoir vu leur le résultat des travaux pour la première fois.

Des dizaines de citoyens se sont rendus sur place pour constater le résultat des travaux d’agrandissement qui ont duré un an. Ceux-ci ont notamment permis l’ajout de quatre nouvelles classes, d’un nouveau gymnase.

Le nouveau gymnase, qui est beaucoup plus grand que l’ancien, facilitera l’atteinte de l’objectif de faire bouger les élèves tous les jours. «L’école fait partie du programme Bouge au cube du ministère de l’Éducation, c’est-à-dire que nous bougeons 60 minutes par jour à l’école», indique la directrice de l’Éco-Pin, Nancy Bégin.

De plus, la municipalité s’est engagée à la hauteur de 207 000 $ en plus d’avoir cédé une partie de son terrain pour l’agrandissement, qui inclut également une nouvelle bibliothèque. Celle-ci sera partagée entre Notre-Dame-des-Pins et l’école.

«En alliant nos efforts et nos investissements (la Commission scolaire Beauce-Etchemin et la municipalité), nous nous sommes dotés d’infrastructures de qualité qui agrémenteront le parcours scolaire de nos élèves et qui contribueront également à dynamiser notre offre de services de loisirs sportifs et culturels», commente la mairesse de Notre-Dame, Lyne Bourque.

Le gymnase et la bibliothèque seront aussi utilisés par la municipalité pour y tenir certaines activités.

Une nécessité

Ces travaux étaient devenus une nécessité en raison de l’augmentation du nombre d’élèves qui fréquentent l’établissement scolaire, qui est passé de 89 en 2011 à 154 aujourd’hui.

«Nous n’avions pas suffisamment de locaux pour répondre à la demande. Nous avions dû réaménager la bibliothèque en salle de classe un an et demi avant que les travaux commencent», mentionne Mme Bégin.

Selon elle, la cohabitation entre les cours et les travaux s’est bien déroulée. «Il y avait une belle coordination. Nous avions des rencontres de chantier assez souvent avec l’entrepreneur, les ingénieurs et les architectes. Nous avons même donné des éloges à l’entrepreneur. Nous nous attendions à pire compte tenu de l’étendue des travaux», ajoute-t-elle.

Mentionnons également que l’établissement a été aménagé en fonction d’accueillir une classe de maternelle quatre ans au besoin.