Un beau mélange de relève et de vétérans au Super Gala de Boxe St-Georges Ford 

BOXE. Le comité organisateur du Super Gala de Boxe St-Georges Ford, formé de Louis Larochelle, d’Hubert Poulin et d’Éric Gosselin, présentera à nouveau une carte diversifiée pour la troisième édition de l’événement, qui se tiendra le 7 juin à compter de 20 h au centre sportif Lacroix-Dutil de Saint-Georges.

Parmi les principaux pugilistes présents, on y compte Cédrick Bégin, Dave Rodrigue, Mikael Dupuis, Frank Bouffard et Jean-William Caron, tous du Club de boxe Hubert Poulin. Jolianne Poulin, fille de Hubert Poulin, et Jean-Raphaël Roy vivront une première expérience devant la foule beauceronne. Logan Raby en sera de son côté à un premier vrai combat, avec des coups à la tête permis. Maxime Hébert (Punch-Out à Thetford Mines), Robin Lagrange (YasAbdes à Saint-Georges) et Yan Trottier (Le Cogneur à Québec) monteront également dans le ring comme combattant principal.  

 « J’ai le droit à 14 combats et jusqu’à présent, j’ai déjà une dizaine d’affrontements  confirmés. Dans le monde de la boxe, on n’est jamais à l’abri des surprises, mais j’ai déjà plein de combats en réserve. […] Jusqu’à maintenant, ça va très bien. On se croise les doigts que ça ne change pas. Je ne suis pas gêné de le dire, ça sera sans contredit la meilleure carte que j’ai présenté ici en trois ans », mentionne Hubert Poulin, responsable de la carte de boxe.

« L’an dernier, ç’a été un peu plus petit. On aimerait atteindre des chiffres semblables à la première édition. L’objectif est d’avoir entre 1 500 et 2 000 spectateurs. Pour ce qui du spectacle, on garde les mêmes standards avec la présence des jeux de lumière, de la musique, des jets de scène et étincelles. On réserve également quelques nouveautés au boxeur lors de leur entrée sur le ring », ajoute Louis Larochelle.

Le comité organisateur assure que la grève des syndiqués du Service des loisirs et de la culture n’aura aucun impact sur l’événement, autant dans l’organisation que l’expérience spectateur. « Ça n’a aucunement été plus difficile. On a toujours utilisé cette formule-là. On s’occupe de tout et on prend possession des installations le temps d’une soirée pour l’organiser à notre manière. On a toujours réussi à s’entendre avec les organisations », conclut le comité organisateur.