Environ 1100 coureurs au Bootcamp Race de Saint-René

Environ 1100 personnes ont pris part à la deuxième édition du Bootcamp Race qui a eu lieu le 16 juin à Saint-René.

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«Nous avons eu un peu moins de participants qu’il y a deux ans. Nous avions accueilli 2000 participants. Il faut dire que nous avions reçu une entreprise qui avait emmené tous ses employés. Mais nous sommes quand même contents du nombre de personnes cette année», mentionne le vice-président exécutif de Just Run, MIchel Rochon, qui organise l’événement.

Les participants ont dû plonger sous la boue, grimper à une corde et un filet, escalader des murs, ainsi que franchir plusieurs autres obstacles disséminés dans le parcours de 6 km. «C’était ma première course à obstacles et j’ai adoré mon expérience. Ce que j’ai préféré c’est que tout le monde s’aidait et s’encourageait. Il n’y avait pas de compétition entre les gens», décrit Vanessa Lescomb.

Ceux-ci ont eu droit à une belle journée pour relever le défi. «Il faisait 26 °C. C’était ensoleillé. On ne pouvait pas demander mieux, non seulement pour les coureurs, mais aussi pour l’équipe de montage», ajoute M. Rochon, précisant qu’il a fallu arroser certains endroits pour avoir de la boue.

Les départs se sont amorcés dès 9h et se sont poursuivis jusque vers 13h30. De courts délais séparaient chaque petit groupe. La dernière vague de départs était réservée aux enfants de 9 à 14 ans accompagnés d’un parent. «Il n’y a aucune différence au niveau du parcours. De cette façon, les parents pouvaient aider leurs enfants à franchir les obstacles s’ils sont trop imposants», explique M. Rochon.

De retour l’an prochain ?

M. Rochon et son équipe se disent satisfaits du déroulement. «Nous sommes très contents, le propriétaire du terrain aussi. Nous allons regarder pour revenir en Beauce dans les prochaines années», mentionne-t-il.

Celui-ci n’écarte pas un éventuel retour dès l’an prochain. «Je parlais au propriétaire plus tôt. Nous regardons pour peut-être revenir l’année prochaine. Ce n’est pas encore décidé. Normalement, c’était décidé aux deux ans, mais ce n’est pas dit que nous ne reviendrons pas l’année prochaine. Si c’est le cas, nous allons l’annoncer rapidement», conclut Michel Rochon.