Le Cool FM signe Jérémy Vigneault-Bélanger et un nouveau gardien
Le Cool FM a annoncé le 20 juillet la mise sous contrat de deux autres joueurs, dont Jérémy Vigneault-Bélanger.
Le centre de 22 ans en sera à sa deuxième saison avec la formation beauceronne. Lors du précédent calendrier, Jérémy Vigneault-Bélanger avait surpris plusieurs partisans avec son rendement de 20 buts et 38 aides en 38 parties. Cette fiche lui a permis de terminer au deuxième rang des meilleurs pointeurs de l’équipe.
«Il a connu une saison recrue exceptionnelle. Jérémy a surpris toute la planète LNAH en se hissant parmi les meilleurs attaquants du circuit. Je lève mon chapeau à Bob Desjardins (ancien entraîneur-chef) qui l’a sorti de nulle part et qui a cru en lui», de mentionner Dean Lygitsakos, entraîneur-chef et directeur général du Cool FM.
Il croit que Vigneault-Bélanger pourrait encore mieux performer pour la saison 2015-2016. «En étant mieux soutenu en attaque, il pourra s’exécuter avec moins de pression et une couverture défensive moins axée sur son trio avec la présence de Kevin Cloutier», d’ajouter Dean Lygitsakos.
Nouveau gardien
Le Cool FM s’est également entendu avec le gardien Pier-Olivier Pelletier. Âgé de 28 ans, il a disputé deux saisons avec les Marquis de Jonquière. L’an dernier, Pelletier a signé 22 victoires en 34 matchs, obtenant une moyenne de buts alloués de 3,53 et un pourcentage d’efficacité de .890.
«Pier-Olivier est un leader dans le sang qui excelle quand l’enjeu est important. Il a prouvé sa valeur dans notre ligue en remportant la coupe, tout en étant choisi le joueur le plus utile des séries la même année. Il a suivi avec le titre du meilleur gardien de la saison régulière la saison suivante», précise Lygitsakos.
Il connaît bien le cerbère pour l’avoir dirigé à Jonquière. «J’ai été impressionné par la façon dont il se comporte. Il agit en vrai professionnel. Il est respecté de ses pairs et s’investit à fond dans son équipe de toutes les façons imaginables. Je suis en confiance avec lui, surtout qu’il déteste perdre autant que moi», conclut Dean Lygitsakos.